Silja: le mystère d'une carrière

 

Si vous vous souvenez de la silhouette gracieuse d'une jeune femme à l'allure d'une étudiante suédoise passée dans l'émission "Dance Machine" en 1994 qui chantait "How could I find love?" alors vous êtes prêt à redécouvrir la carrière de Silja.

Cette chanteuse mystérieuse a fait carrière en France dans les années 90 en sortant 3 CD 2 titres de dance-music, un album était prévu mais à priori il n'est pas sorti, pourtant Michael Cretu d'Enigma a participé à son premier single. 

Quelques années plus tard en 1998 on la retrouve en muse trip-hop variétoch' indé avec "J'efface et j'oublie" un titre très artistique et accrocheur suivi d'un album dans la même style.

Puis la jeune femme franco-américaine semble disparaitre mais discrètement elle apparait dans les années 2000 sur le projet bossa nova "Nouvelle Vague".

Il semble que Silja, de son vrai nom Celia Gruss soit repartie aux Etats-Unis faire sa carrière d'artiste, en tout cas sur son site officiel on découvre que depuis elle est actrice et voix-off pour des publicités ou des projets indépendants.

Je trouve que Silja a une jolie voix, des chansons bien foutues et incarne parfaitement la modernité des années 90. Découvrez ici une pochette inédite que j'ai créé et les vidéos de ses chansons.

Un univers lolly pop assumé !

 

Dans les années 90 la dance-music a engendré une myriade d'artistes au style commercial totalement assumé, dans la francophonie nous avons eu Kim Kay et ses mélodies sucrées presque enfantines, en Angleterre il y a eu Lolly une chanteuse amusante avec ses chansons légères comme "Viva la radio". La jeune femme au look coloré a sorti rapidement deux albums et connu un certains succès dans son pays et dans les pays asiatiques.

A noter que sur la pochette futuriste de son premier album de 1999, la jeune femme tient à la main ce qui ressemble à un smartphone, pourtant ces appareils deviendront populaires en 2007, quel visionnaire! 

Marky est "Funky"!

 Marky Mark (pseudonyme de Mark Wahlberg) est une figure emblématique des années 90, évidemment à travers son image de mannequin et d'acteur prometteur mais aussi en tant que chanteur rappeur, situé quelque part entre l'émergence d'une scène hip-hop et l'explosion des boybands. Voici un megamix des plus grands succès du début de sa carrière.

Après deux albums orientés "son urbain" avec son groupe The Funky Bunch, Mark continuera plus discrètement avec des titres euro-dance et plus pop pendant le reste de la décennie 90. Il n'existe malheureusement pas de "Best of" officiel de sa discographie pour l'instant.

Achète le disque ici.

BOYBAND' PHENOMENON

 Pour les fans du phénomène boysband, voici une playlist que vous pouvez écouter sur Deezer.

For fans of the boy band phenomenon, here is a playlist you can listen to on Deezer.

PLAYLIST BOYSBAND DEEZER

ORANGE & BLEU: la force des 90's

Chaque décennie invente des codes esthétiques marquants, pour les années 90 avec l'émergence de la musique dance et la popularité des looks sportifs, le orange et le bleu se sont vite imposés comme le combo gagnant pour le style des jeunes.

ici je vous montre en image plusieurs pochettes de disques qui reprennent ces couleurs. 

Phoenix Stone : Un mystère à l’ère des boys bands

 

À la fin des années 1990, des boys bands comme les Backstreet Boys et *NSYNC dominaient les charts avec leurs tubes pop entraînants. Au cœur de cette frénésie, Phoenix Stone s’est imposé comme artiste solo, avec un bref mais mémorable moment de gloire. Son histoire, liée à l’engouement pour les boys bands, est un instantané nostalgique d’une époque marquée par la pop-mania adolescente.

Stone fut l’un des premiers membres des Backstreet Boys, formés en 1993 par le manager Lou Pearlman. Selon Salon.com, il quitta le groupe en 1994 pour se lancer dans une carrière solo, un choix audacieux alors que le groupe était sur le point de connaître une renommée mondiale. En 1999 il lança sa carrière solo puis en 2000, Stone sortit son premier album éponyme chez Universal Records, avec des titres pop comme « Still Be Loving You ». AllMusic souligne les refrains entraînants et les paroles romantiques de l’album, qui faisaient écho au son du boys band tout en mettant en valeur le côté soul de Stone, qui écrivait la plupart de ses musiques. Concurrent sur un marché dominé par Millennium des Backstreet Boys et No Strings Attached de *NSYNC, Stone a dû se battre pour le titre. Sa chanson "Nothing good about goodbye" est aussi efficace que les premiers titres de Britney Spears. Malgré tout sans faire de tubes, il a connu des moments de reconnaissance, comme des fans qui chantaient avec lui lors d'un concert à Atlanta ou l'avoir repéré à New York, comme il l'a confié dans une interview sur Salon.com. Bien que sa célébrité ait été éphémère, la musique de Stone, documentée sur Discogs.com, capture l'esprit pop glamour de la fin des années 90.

Pour les fans de l'époque, l'histoire de Phoenix Stone rappelle l'essor des boys bands et les artistes qui ont osé se démarquer. Son album reste un joyau caché pour ceux qui revisitent la vague pop du tournant du millénaire.

Tout le monde dit : 2 Be 3 !

 Bienvenue dans l'univers des années 90, aujourd'hui découvrons un titre moins connue des 2 Be 3, le célèbre boyband français : "Tout le monde le dit", c'est un titre de leur deuxième album de 1998 qu'ils ont promotionnés à la télé et qu'ils ont également chanté en live dans leur CD "Live à Bercy".

Ce titre plus orienté son urbain aurait pu faire un bon single, dommage que seuls deux singles soient sorties en 1998. 

Voici une pochette imaginé pour ce titre et un fond d'écran assortie.